Machines et matériels pour la construction des bâtiments
Les délégués représentant l’Allemagne, la Chine, la Corée du Sud, les Etats-Unis, la Finlande, la France, l’Inde, le Japon, le Royaume-Uni et la Suède ont défini la stratégie future d’élaboration des normes de sécurité pour les machines pour la construction des routes. Proposer en enquête les normes ISO de la série 20500 basées sur les révisions des cinq parties de l’EN 500 : telle est l'ambition du comité technique. Ce choix tient à l’excellente réputation des normes européennes dans certains pays notamment en Chine. Ce pays a repris plusieurs de ces documents dans sa collection nationale parfois même en les rendant d’application obligatoire. Dans ce contexte, on peut raisonnablement penser que les travaux devraient arriver à terme assez rapidement.
La réorganisation du comité a été envisagée en prolongement des discussions déjà intervenues en 2012. Les délégués présents ont pu échanger sur la future structure, mais aucune décision n’a été prise pour le moment. La répartition géographique des sous-comités est en jeu : l’Allemagne détient la présidence du comité technique, les pays émergents souhaitent prendre des responsabilités et la France est pressentie pour le sous-comité "Machines pour la fondation de sols".
Afin de consolider une future proposition française, l’UNM a organisé le 27 juin 2013, au ministère du Travail, une réunion élargie. Objectif : échanger entre experts français de tous horizons (représentants des autorités publiques, constructeurs, utilisateurs, préventeurs, etc.) sur les évolutions possibles de ces normes, en s’appuyant en particulier sur les travaux menés sur les fumées de bitumes et de silices par les groupes INRS-Profession "finisseur" et "rabotage".
Pour plus d’informations, vous pouvez vous adresser à info@unm.fr.
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